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Lucky Luke Vol 78: The Dalton Uncle

Lucky Luke Vol 78: The Dalton Uncles

Bandes dessinées LUCKY LUKE

En 1955 sort le septième album L’Élixir du Docteur Doxey qui contient les histoires quinze et seize, puis sont publiées des histoires courtes dans le journal Risque-Tout, Grabuge à Pancake Valley dans le no 5 et Lucky Luke et Androclès dans le no 11[2]. La série fut souvent censurée, en particulier en France à cause de la loi de 1949 sur les publications pour la jeunesse, puis à partir de 1955 en Belgique où le gouvernement accuse la bande dessinée de pervertir la jeunesse. Ainsi la fin de la douzième histoire Hors-la-loi a été changée, car jugée trop sanglante.

En revanche, la cigarette disparaît, remplacée une fois de plus par un brin d’herbe[48]. Pour Morris la lisibilité d’une image est très importante pour que le lecteur comprenne au premier coup d’œil ce qui s’y passe. Une charge de cavalerie est alors représentée par trois ou quatre soldats plus des ombres chinoises, un décor du Grand Nord par de la neige et quelques silhouettes de sapins. Morris va même jusqu’à supprimer le décor quand il n’est pas essentiel à l’action, en représentant seulement le décor dans la première case de l’action et en l’omettant dans les cases suivantes. Cette technique permet de rendre plus simple l’action des personnages[37]. Plusieurs autres personnages secondaires parisiens prennent à leur tour Luke pour un Belge dans le reste de l’album.

Les personnages principaux

Fingers est publiée en 1983 dans le magazine VSD et la même année en album[63]. La série fait un retour dans Spirou en 1983 avec Le Daily Star publiée du no 2424 au no 2427 (publiée la même année en album) et en 1984 avec La Fiancée de Lucky Luke du no 2479 au no 2482 (publiée la même année en album)[2]. Nitroglycérine est publiée du no 942 au no 946 de Pif Gadget, puis en album en 1987[13]. La série disparaît de Spirou pendant presque deux ans pour cause de voyage aux États-Unis de Morris, elle revient en 1955 dans le no 906 avec l’histoire Des rails sur la prairie scénarisée pour la première fois par René Goscinny rencontré pendant ce voyage. La publication se termine dans le no 929, puis est publiée en album en 1957, il s’agit du premier album ne contenant qu’une seule histoire https://lucky8fr1.com.

  • Cette année est publiée La Diligence du no 1504 au no 1525, Le Pied-Tendre du no 1537 au no 1556[2].
  • L’absence du héros de la série dans ce film n’est pas tellement ressentie puisqu’il joue un rôle secondaire dans l’intrigue de l’histoire originale publiée en 1959[s 17].
  • Achdé reste au dessin et écrit lui-même le scénario pour les deux premiers albums, L’apprenti cowboy et Lasso périlleux[24].
  • À partir du no 8 est publiée l’histoire à suivre Le Cavalier blanc qui va se terminer dans le no 12, le dernier numéro du journal avant sa disparition définitive.
  • Le célèbre peintre de l’Ouest américain, Frederic Remington est représenté dans l’histoire L’Artiste-peintre, Lucky Luke doit le protéger dans l’Ouest sauvage alors qu’il souhaite peindre le légendaire amérindien Hiawatha[s 8].
  • Le premier album publié par Lucky Comics paraît en 2000 et est intitulé Le Prophète, sur un scénario de Patrick Nordmann[63].

Albert Uderzo a cru que le personnage du pied-tendre est une caricature de lui-même, mais Morris affirme plus tard qu’il ne s’agit que d’une coïncidence[59]. On croise quelques personnalités contemporaines dans certains albums, notamment Louis de Funès et Patrick Préjean dans Le Bandit manchot, Jack Palance en Phil Defer[52] dans l’album du même nom, ou Lee Van Cleef en Eliot Belt dans Chasseur de primes. Dans La Diligence, Alfred Hitchcock apparaît sous les traits d’un barman et le joueur de poker ressemble à John Carradine[53]. Dans Le Ranch maudit, Christopher Lee apparaît sous les traits d’un agent immobilier véreux, Groucho Marx en chasseur de bisons, et Serge Gainsbourg en ivrogne. Dans cette même histoire, Lucky Luke va aider une vieille dame à emménager dans une maison appelée le ranch Bates, comme le personnage de Norman Bates de Psychose.

Les albums de la série Lucky Luke – Intégrales

Ces deux histoires sont ensuite publiées en 1964 dans un album intitulé Les Dalton courent toujours. Les Dalton dans le blizzard est la première histoire publiée en 1962 du no 1256 jusqu’au no 1277 (1963 en album), la seconde est La Caravane publiée du no 1281 au no 1302 (1964 en album). L’année 1963 voit la publication de l’histoire La Ville fantôme du no 1306 au no 1327 et de Les Dalton se rachètent du no 1331 au no 1352.

En 1951, sort le troisième album, Arizona, qui comprend la première histoire, ainsi que la septième. La même année, la série réapparaît dans Spirou après plusieurs mois d’absence. Nettoyage à Red-City parait du no 685 au no 697 et Hors-la-loi du no 701 au no 731. La politique des éditions Dupuis étant que les séries vedettes soient pratiquement toujours au sommaire, les histoires s’enchaînent rapidement durant l’année 1952. Tumulte à Tumbleweed est publié du no 735 au no 754, Le Retour des frères Dalton du no 755 au no 764 et Lucky Luke et le Docteur Doxey du no 765 au no 786. Le quatrième album intitulé Sous le ciel de l’Ouest sort la même année et contient les histoires huit, neuf et dix lucky8 bonus 8€.

Jolly Jumper

Ainsi, un promoteur immobilier utilise l’image de Lucky Luke pour ses campagnes publicitaires dans les années 1970 et le quotidien Sud Ouest a utilisé l’image de Lucky Luke pour vendre des abonnements en 2001[107]. Certains personnages publics vont se déguiser en Lucky Luke, ainsi le patineur artistique Philippe Candeloro fait un spectacle en costume de Lucky Luke. Alain Bashung pose en costume de Lucky Luke pour le magazine Les Inrockuptibles de janvier 2003 et Laurent Gerra a posé habillé en Lucky Luke pour l’affiche de son spectacle Laurent Gerra flingue la télé[107]. En 1994, à nouveau, Lucky Luke a son propre périodique (mensuel), cette fois chez Semic, qui ne dure encore que quelques numéros, du numéro 1 (juin 1994) au numéro 8 (janvier 1995)[85],[86]. Comme son frère William, il est souvent utilisé comme faire-valoir au cours des aventures[d 16].

  • Le joueur de poker, habillé élégamment et affublé d’un chapeau, a le regard fourbe du tricheur ; il fréquente les tables de jeux et se retrouve fréquemment couvert de goudron et de plumes porté sur un rail par les habitants du village.
  • En 1980, sort un jeu de sept familles avec les personnages de la série[s 28].
  • Pour l’année 1996 est publiée Le Klondike, sur un scénario de Yann et Jean Léturgie.
  • En 1984, les studios américains Hanna-Barbera Productions produisent une série animée éponyme.
  • Avec le décès de Morris, et conformément à sa volonté, Lucky Luke poursuit ses aventures avec un nouveau dessinateur, Achdé.

Une des figures de l’Ouest qu’on retrouve le plus dans Lucky Luke est le shérif. Personnage discret, voire peu malin ou tout aussi pleutre que les citoyens qu’ils sont censés protéger, afin de ne pas faire d’ombre au héros, il porte toujours la barbe ou la moustache et se trouve être soit très gros, soit très maigre. Chargé de faire respecter la loi, il est souvent débordé, ce qui permet l’entrée en scène de Lucky Luke[c 7]. Les transmissions avec l’Europe étaient parfois difficiles, au point que pour économiser des timbres, Morris dessine pendant quelque temps ses planches recto-verso. De ce fait, une planche n’est pas parue, ni dans le journal ni en album, les photograveurs des éditions Dupuis ne s’étant pas aperçus que le verso avait aussi été utilisé[4].

By Morris & Goscinny (1955–

L’envolée arrière, présente par exemple dans l’histoire Des barbelés sur la prairie qui se moque de l’optimisme du fermier d’être « enfin libre ! Fin 2011, les éditions Lucky Comics décident de reprendre la série Kid Lucky dans le même esprit que Les aventures de Lucky Luke sous le nom de Les aventures de Kid Lucky d’après Morris. Achdé reste au dessin et écrit lui-même le scénario pour les deux premiers albums, L’apprenti cowboy et Lasso périlleux[24]. En 1971, Lucky Luke devient un héros de dessin animé avec le film Lucky Luke, renommé plus tard Daisy Town, dont Goscinny écrit le scénario et Morris le scénarimage.

  • Le Grand duc Léonide a les traits de Sydney Greenstreet, le professeur Otto von Himbeergeist, personnage principal de La Guérison des Dalton est en fait l’acteur allemand et premier non-américain à recevoir un Oscar, Emil Jannings.
  • On croise quelques personnalités contemporaines dans certains albums, notamment Louis de Funès et Patrick Préjean dans Le Bandit manchot, Jack Palance en Phil Defer[52] dans l’album du même nom, ou Lee Van Cleef en Eliot Belt dans Chasseur de primes.
  • L’année suivante paraissent dans Spirou les histoires, Jours de round-up du no 619 au no 629, Le Grand Combat du no 630 au no 646.

Dans le journal périodique est publiée, pour l’année 1969, l’histoire à suivre Jesse James du no 478 au no 499 (1969 en album). Ensuite est publiée l’histoire à suivre Western Circus du no 520 au no 541 (1970 en album). La même année est publiée dans le troisième numéro de Super Pocket Pilote, une histoire complète de huit pages intitulée Promenades dans la ville, puis dans le quatrième numéro une histoire de seize pages intitulée La Bataille du riz. Pour l’année 1970, est publiée l’histoire à suivre Canyon Apache du no 563 au no 584 (1971 en album). L’année suivante est publiée l’histoire à suivre Ma Dalton du no 595 au no 616 (1971 en album).

Albums : Les Aventures de Lucky Luke d’après Morris[modifier modifier le code]

Au bout de deux albums, malgré de bons chiffres de vente, Kid Lucky est interrompu par Morris, qui estime que la série n’a pas le potentiel nécessaire pour continuer[19]. Avec ce changement d’éditeur, la popularité et les ventes d’albums de Lucky Luke s’accroissent considérablement[c 2]. La série Lucky Luke fait sa dernière apparition dans le journal Spirou du no 1537 au no 1556 avec l’histoire Le Pied-Tendre[2]. Contrairement à la rumeur, Morris n’a quitté Dupuis ni à la demande de René Goscinny qui souhaite réunir ses séries dans Pilote, ni parce que Dupuis aurait refusé d’imprimer Lucky Luke sur des albums cartonnés[10]. La série met en scène le personnage de Lucky Luke, connu pour être « L’homme qui tire plus vite que son ombre », accompagné de son cheval Jolly Jumper. Il fait régner la loi dans l’Ouest américain et affronte des bandits historiques ou inventés dont les plus connus sont les frères Dalton[1].

Jean-Luc Mélenchon, pour se moquer des mouvements trotskyste, lambertiste et pabliste, les a appelés « les O’Hara et les O’Timmins », clin d’œil à l’épisode Les Rivaux de Painful Gulch. Jacques Attali, conseiller de Nicolas Sarkozy et de François Mitterrand, a déclaré adorer la série. Le ministre des affaires étrangères français de 1991 à 1995, Hubert Védrine a cité la série comme une de ses bandes dessinées préférées[107]. Le succès de la série en fait une référence pour plusieurs générations. À commencer par la formule « L’homme qui tire plus vite que son ombre », inventée par René Goscinny, qui est devenue très célèbre dans le monde francophone[d 1] et même synonyme de rapidité. Abraham Lincoln, président des États-Unis entre 1861 et 1865, confie à plusieurs reprises des missions à Lucky Luke[d 28].

Les Aventures de Kid Lucky d’après Morris

En 1949 sort La Mine d’or de Dick Digger (pré-publiée dans Spirou en 1947), premier album de la série[3] et réalisée sur un scénario de son frère, Louis De Bevere[7]. Il travaille aussi pour divers magazines de bande dessinée américains et illustre des livres pour enfants. Durant son séjour qui dure six ans, il fait la connaissance de Harvey Kurtzman, alors rédacteur en chef du magazine de bande dessinée Mad. Ces contacts avec les auteurs de bande dessinée américains auront un impact important sur son travail[c 2].

En 1972, est publiée l’histoire à suivre intitulé Chasseur de primes du no 658 au no 679 (1972 en album). En 1973, sont publiées deux histoires à suivre, Le grand duc du no 690, puis L’Héritage de Rantanplan, qui est la dernière histoire publiée dans le journal, du no 717 jusqu’au no 736. Les ennemis sont très présents dans la série, et si certains sont des personnages historiques du Far West, un grand nombre sont des personnages fictifs.

Atelier jeunesse – Jouer avec Lucky Luke

En 1999 est créée la maison d’édition Lucky Comics, née d’un partenariat entre Lucky Productions et Dargaud. Tous les albums de Lucky Luke qui ont été publiés par ces deux maisons d’édition le sont désormais par cette nouvelle entité. Le premier album publié par Lucky Comics paraît en 2000 et est intitulé Le Prophète, sur un scénario de Patrick Nordmann[63]. En 2002 est publié La Légende de l’Ouest, sur un scénario Patrick Nordmann. Il s’agit de la dernière histoire de Morris qui est décédé l’année précédente[65]. Le joueur de poker, habillé élégamment et affublé d’un chapeau, a le regard fourbe du tricheur ; il fréquente les tables de jeux et se retrouve fréquemment couvert de goudron et de plumes porté sur un rail par les habitants du village.

  • Marcel Dalton présent dans l’histoire du même nom est l’oncle des Dalton, banquier en Suisse il est le seul membre honnête de la famille et va engager ses neveux dans une banque qu’il ouvre aux États-Unis[s 13].
  • La présence régulière de Lucky Luke dans le journal Pilote ne durera que cinq ans.
  • Du reste, le grand cinéaste sera patron d’un saloon dans cette histoire ainsi que dans La Diligence[54].
  • L’année 1961 est faste pour la série, avec la publication des histoires à suivre Les Rivaux de Painful Gulch du no 1186 au no 1207 (1962 en album), Billy the Kid du no 1210 au no 1231 (1962 en album) et Les Collines noires du no 1232 au no 1253 (1963 en album).
  • L’acteur Tom Novembre a cité la série comme une de ses bandes dessinées préférées[107].

Black Bart, bandit qui attaque les diligences apparaît dans l’histoire La Diligence[d 31]. Mark Twain, journaliste au Territorial Enterprise apparaît lors de sa rencontre avec Lucky Luke dans l’histoire L’Héritage de Rantanplan. Brigham Young, chef spirituel de la communauté mormone, apparaît dans l’histoire Le Fil qui chante, où apparaît aussi Washakie chef des amérindiens Shoshones[d 32]. Le juge Roy Bean fait sa seule véritable apparition dans l’histoire Le Juge qui lui est dédiée[d 22], mais on peut noter que c’est lui qui fera remarquer dans La Corde au cou aux Dalton qu’ils peuvent se marier pour ne pas être pendus. Il exerce son métier de juge dans le saloon de Langtry au Texas où il terrorise les habitants avec des amendes qu’il encaisse lui-même.

Laurent Gerra présente Lucky Luke (Eddy M.)

Sa principale particularité est de souvent finir les phrases de son frère William[d 13]. Des rails sur la prairie sera le premier album qui marquera la collaboration de Morris et Goscinny avec ce dernier au scénario. Conseils pour acheter ou vendre ses objets de collection, valeur selon argus. Prix BD, Tintin, Asterix,.., pin’s, télécartes, vente pièce de monnaie, billet, pièce argent, euro, actions anciennes et emprunts, sous bocks, verres, porte clés, estimation jouets anciens, Dinky Toys, timbres, mignonnettes, bijoux, miniatures parfum… L’Arche de Rantanplan résonne avec l’actualité grâce à sa galerie de personnages.

  • Dans l’histoire suivante Les Dalton dans le blizzard, Lucky Luke est aidé par le caporal Winston Pendergast de la police montée canadienne à rattraper les Dalton[d 36].
  • Cette dernière utilisation permet de montrer qu’il y a quand même une explication au gag, dans cet exemple les Dalton montrent chacun en même temps un carré d’as[c 5].
  • Incapable de flairer une piste, de nager, de chasser et de survivre seul, il est plusieurs fois sauvé par des quidams ou par Lucky Luke[d 10].
  • Le cercle dynamique centripète comme dans l’histoire L’Escorte quand les amérindiens attaquent une diligence déjà sous le feu des bandits voulant délivrer Billy the Kid.
  • Il apparaît presque toujours avec eux, les suivant à la trace chaque fois qu’ils s’évadent du pénitencier.

La même année sort un jeu de puissance 4 intitulé Les cinq Dalton à l’effigie des frères Dalton[s 27]. En 1980, sort un jeu de sept familles avec les personnages de la série[s 28]. La même année sortent deux jeux de plateau intitulés pour l’un La ballade des Dalton inspiré du Monopoly[s 29] et pour l’autre Lucky Luke le cheval de fer[s 30] L’année suivante, sort un jeu de 52 cartes à l’effigie des personnages de la série[s 31]. En 2002, sort un jeu de carte inspiré de la scopa intitulé Lucky Luke, la bataille contre les Dalton[s 32].

Atelier jeunesse – coloriages et autres surprises (nouveaux coloriages !)

Pour l’année 1996 est publiée Le Klondike, sur un scénario de Yann et Jean Léturgie. En 1998, c’est l’histoire Marcel Dalton qui est publiée sur un scénario de Bob de Groot[63]. Dans l’histoire Le Pied-Tendre, le bandit qui tente de s’emparer des terres héritées par Waldo Badmington, est Jack Ready[d 59]. Corduroy Zilch, organisateur de rodéo dans la cinquante-cinquième histoire, Western Circus, voit d’un mauvais œil l’arrivée du cirque à Fort Coyote[d 60]. Dans Canyon Apache, on assiste à une guerre entre le colonel O’Nollan qui veut se venger des Apaches qui ont enlevé son fils, Patrick, et le jeune chef Apache, Patronimo[d 61].

  • Les plus marquants sont les frères Dalton, qui sont les cousins des véritables Dalton que Morris avait déjà mis en scène auparavant, mais que ce dernier avait fait mourir à la fin de l’histoire.
  • En 1994, à nouveau, Lucky Luke a son propre périodique (mensuel), cette fois chez Semic, qui ne dure encore que quelques numéros, du numéro 1 (juin 1994) au numéro 8 (janvier 1995)[85],[86].
  • La plongée stabilisée, comme dans l’histoire Les Dalton courent toujours, permet de suivre les Dalton sous terre au fur et à mesure qu’ils creusent pour trouver la banque déplacée sans arrêt par Lucky Luke.
  • Il est accompagné par ses domestiques Jasper et Sam l’Indien, ces deux derniers personnages reviennent dans l’histoire La Belle Province[d 42].

En 1953, l’histoire Chasse à l’homme paraît du no 787 au no 808 de Spirou et Lucky Luke contre Pat Poker, le cinquième album, sort et contient les histoires onze et treize. L’année suivante, sort le sixième album, Hors-la-loi contenant les histoires douze et quatorze. Les histoires Lucky Luke et Phil Defer « le Faucheux » et Lucky Luke et Pilule sont publiées dans le journal Le Moustique respectivement du no 1464 au no 1494 et du no 1508 au no 1516.

Les Collections de BD : Lucky Luke

Les premiers ennemis inventés que doit affronter Lucky Luke sont Big Belly, Mestizo et Cheat dans l’histoire Arizona 1880. Les deux premiers reviennent dans l’histoire suivante La Mine d’or de Dick Digger ; dans Le Sosie de Lucky Luke les ennemis s’appellent Stan Strangler, le Petit Charley Chick et Mad Jim. L’histoire suivante, Lucky Luke à Desperado-City, met en scène les Frères Pistol et le croque-mort. Ensuite il affronte Cigarette Caesar dans l’histoire Lucky Luke contre Cigarette Cæsar.

  • Dans l’histoire Lucky Luke contre Pinkerton, est mis en scène le célèbre détective Allan Pinkerton qui souhaite remplacer Lucky Luke comme justicier de l’Ouest[s 9].
  • La première est publiée en 1975, il s’agit de l’histoire La Guérison des Dalton publiée du no 1 au no 13.
  • Ils vont alors devenir des personnages récurrents de la série, comme premiers ou seconds rôles[d 11].
  • Fingers est publiée en 1983 dans le magazine VSD et la même année en album[63].
  • La fin de l’histoire présente dans la réédition de la collection « Gag de poche » de 1964 est complètement différente puisqu’on voit Bob Dalton mourir après qu’une balle — que l’on suppose tirée par Lucky Luke — lui a traversé la tête.

Ainsi, lors de sa première apparition, son nom est écrit « Ran-tan-plan », lors de la deuxième son nom devient « Ran-Tan-Plan » puis « Ran Tan Plan ». En 1987, quand il devient le héros de sa propre série de bande dessinée, il devient « Rantanplan »[d 9]. Le grand-père sur son fauteuil roulant, qu’il manie habilement, et bien souvent armé d’un vieux fusil.

Notes et références[modifier modifier le code]

La série a aussi été adaptée sur de nombreux supports, en longs-métrages d’animation et séries animées pour la télévision, en films, jeux vidéo, jouets et jeux de société. Le terme « Lucky Luke » est depuis devenu dans les sociétés française et belge synonyme de rapidité. Dopey, l’un des personnages de Ruée sur l’Oklahoma, ressemble à Michel Simon jeune.

Elle a participé à l’élaboration des règles et caractéristiques qui sont devenues par la suite des classiques de ce style de bande dessinée[51]. Quand Morris quitte Dargaud pour Lucky Productions en 1990, il en profite pour refaire le dessin du quatrième de couverture des albums. Lucky Luke qui jusque-là tirait avec un revolver dans l’estomac de son ombre, désormais tire avec deux armes en plein cœur de son ombre[f], la fumée sortie des revolvers est aussi gonflée pour rendre l’image plus impressionnante.

L’homme qui tire plus vite que son ombre

Fingers présent dans l’histoire du même nom est un magicien dont les mains volent sans qu’il puisse les contrôler ; il va aider les Dalton à s’échapper du pénitencier, puis va être placé sous la responsabilité de Lucky Luke[s 14]. Dans la cent-deuxième histoire, Le Pont sur le Mississipi, les frères Bat et Dick Cayman, dont l’aîné est maire des deux villes que doit relier le pont, sabotent sa construction pour ne pas perdre leur puissance[s 15]. Dans l’histoire Le Prophète, Lucky Luke doit rattraper les Dalton et le prophète Dunkle qui a embrigadé Averell Dalton[s 16]. Rantanplan est une parodie du chien Rintintin et à la différence de ce dernier, Rantanplan est stupide[c 3].

  • André Franquin, grand ami de Morris, est présent à plusieurs reprises notamment comme adjoint du shérif[56] ou comme guitariste[57].
  • C’est d’ailleurs sous l’influence des collaborateurs de Mad qu’il fait de Lucky Luke une véritable parodie[8].
  • Cette option a été préférée à l’idée de faire revenir d’outre-tombe les fameux bandits.
  • Dans Spirou, parait Alerte aux Pieds-Bleus publiée du no 938 au no 957, puis Lucky Luke et la bande de Joss Jamon du no 966 au no 989.
  • En 2004, Achdé et Gerra reprendront le personnage avec leur album La Belle Province.
  • La ruée vers l’or et l’arrivée de nouveaux colons sur des terres indiennes sont les sujets de nombreux albums.

Dans la fin classique de l’histoire, Bob Dalton est arrêté par Lucky Luke, puis on découvre après qu’il est mort, mais il n’est pas dit que c’est Lucky Luke qui l’a abattu. La fin de l’histoire présente dans la réédition de la collection « Gag de poche » de 1964 est complètement différente puisqu’on voit Bob Dalton mourir après qu’une balle — que l’on suppose tirée par Lucky Luke — lui a traversé la tête. Cette fin explique mieux la haine, dans l’histoire Les Cousins Dalton, des frères Dalton, cousins des Dalton de l’histoire Hors-la-loi, envers Lucky Luke. C’est la fin censurée qui sera publiée dans le journal Spirou en 1952[43].

Films[modifier modifier le code]

Il lui arrive parfois de converser avec ses congénères, qu’il prend d’ailleurs souvent de haut, se montrant même grossier avec les chevaux d’attelage[d 8]. Lucky Luke – tome 8 – Chasseur de primes est le titre du livre qui est très recherché aujourd’hui. En devenant membre, vous pouvez lire des milliers de livres en ligne, ou les télécharger sur votre gadget. Le service prend en charge une variété de plates-formes allant de PC, Android, tablette, iPhone et Kindle. Par exemple, l’album La Ballade des Dalton et autres histoires (1986) comprend Grabuge à Pancake Valley (1955), La Ballade des Dalton, Un Amour de Jolly Jumper et L’École des shérifs (1978). Cet article dresse la liste des histoires de Lucky Luke dans leur ordre de parution.

  • Le blanchisseur toujours de petite taille et d’origine chinoise, est discret, modeste et parle un langage incompréhensible composé de figures de styles stéréotypées.
  • Nitroglycérine est publiée du no 942 au no 946 de Pif Gadget, puis en album en 1987[13].
  • Morris tenait en revanche à dessiner entièrement les histoires longues destinées aux albums[c 4].
  • Fingers présent dans l’histoire du même nom est un magicien dont les mains volent sans qu’il puisse les contrôler ; il va aider les Dalton à s’échapper du pénitencier, puis va être placé sous la responsabilité de Lucky Luke[s 14].
  • Morris quitte Dargaud pour fonder sa propre maison d’édition, Lucky Productions.

Elle va obligatoirement être au sommaire de chaque numéro soit avec des histoires courtes complètes ou des histoires à suivre, elle fait aussi la couverture des douze numéros. À partir du no 8 est publiée l’histoire à suivre Le Cavalier blanc qui va se terminer dans le no 12, le dernier numéro du journal avant sa disparition définitive. La série est créée en 1946 dans l’almanach 1947 du journal Spirou avec le récit complet Arizona 1880. L’année suivante est publiée pour la première fois une histoire à suivre La Mine d’or de Dick Digger, dans les journaux Spirou du no 478 au no 502. Cette même année, en 1949, sort le premier album de la série La Mine d’or de Dick Digger, il s’agit d’un album broché paru aux éditions Dupuis qui comprend les histoires deux et trois, suivi du deuxième album Rodéo qui comprend les histoires quatre, cinq et six[61]. L’année suivante paraissent dans Spirou les histoires, Jours de round-up du no 619 au no 629, Le Grand Combat du no 630 au no 646.

Bande dessinée[modifier modifier le code]

Le cercle dynamique centripète comme dans l’histoire L’Escorte quand les amérindiens attaquent une diligence déjà sous le feu des bandits voulant délivrer Billy the Kid. Le cercle dynamique centrifuge, comme dans l’histoire Lucky Luke contre Pat Poker avec la fuite devant la mouffette, le cercle dynamique rotatif, comme dans l’histoire Le Juge où Lucky Luke, attaché à un arbre, doit courir pour éviter l’ours de Roy Bean. Le cercle dynamique rotatif simple ou concentrique repris dans plusieurs albums de la série avec les Amérindiens qui tournent autour d’un chariot[c 5]. Lucky Luke est publié pour la première fois en 1946 dans l’Almanach 47 du journal Spirou avec l’histoire Arizona 1880[2]. Le graphisme de la série est alors inspiré de celui des dessins animés avec des traits ronds pour les personnages[c 1].

  • Il fait régner la loi dans l’Ouest américain et affronte des bandits historiques ou inventés dont les plus connus sont les frères Dalton[1].
  • Il lui arrive parfois de converser avec ses congénères, qu’il prend d’ailleurs souvent de haut, se montrant même grossier avec les chevaux d’attelage[d 8].
  • La série est publiée parallèlement dans Super Pocket Pilote avec Défi à Lucky Luke (no 1) et Arpèges dans la vallée (no 2).
  • Le grand-père sur son fauteuil roulant, qu’il manie habilement, et bien souvent armé d’un vieux fusil.

Dans l’histoire, Lucky Luke et Phil Defer « le Faucheux » il a pour ami O’Hara[s 10]. Le Capitaine Barrow apparaît dans la vingt-neuvième histoire, En remontant le Mississipi, il dirige le bateau « Daisy Belle » qui navigue sur le Mississippi, Lucky Luke le protège contre les méfaits de son rival le Capitaine Lowriver[d 33]. Dans l’histoire suivante Les Dalton dans le blizzard, Lucky Luke est aidé par le caporal Winston Pendergast de la police montée canadienne à rattraper les Dalton[d 36]. Powell est un vieillard, propriétaire d’une mine d’or à Gold Hill[d 37], Lucky Luke le protège contre Denver Miles qui veut lui voler sa mine dans la trente-neuvième histoire intitulée La Ville fantôme[d 38]. L’allié de Lucky Luke dans l’histoire Le 20e de cavalerie est dur, froid et distant, il s’agit du colonel Mac Straggle de la cavalerie[d 39], ainsi que son fils Grover qui est aussi son souffre douleur[d 40].